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La liste des chantiers internationaux 2024 est là !

Maison Des Bateleurs – Solidarités Jeunesses est une délégation régionale du mouvement Solidarités Jeunesses, qui a été créée en 1993. Solidarités Jeunesses est un mouvement d’éducation populaire qui favorise et construit la paix, la solidarité et l’inclusion sociale à travers des projets de volontariat et de mobilité internationale.

L’objectif de la Maison des Bateleurs est de briser les barrières sociales, culturelles et intergénérationnelles à travers le vivre et le faire ensemble. Via nos actions, nous voulons impulser de nouvelles dynamiques dans les zones rurales en permettant aux volontaires français et internationaux, aux jeunes accueillis et aux personnes impliquées dans l’association de vivre et de travailler ensemble dans le respect de l’environnement et de l’être humain sans aucune discrimination.

Ce qu’on y fait

L’association est située à Montendre (17130), dans une belle maison qui a été rénovée au cours de chantiers internationaux en 1995 par les premiers volontaires.

Aujourd’hui, le centre d’accueil est chaleureux et habité, au sens propre comme au sens figuré. On remarque tout de suite qu’il en est passé des volontaires, des bénévoles et des salariés depuis que la délégation s’est installée à Montendre. Le lieu permet d’accueillir près de 30 personnes. À l’année, 8 volontaires y sont les résidents principaux, ils partagent la maison avec l’équipe permanente, des stagiaires, des bénévoles et autres personnes et groupes de passage. A l’année, ils vont vivre des Accueils des groupes venant de différents horizons, participer à l’animation de projets européens (échanges de jeunes et séminaires d’acteurs de jeunesse) et des chantiers internationaux sur l’ensemble du territoire historique de l’association, le Nord de la Nouvelle-Aquitaine.

« Le moment où nous avons appuyé sur un interrupteur, la lumière s’est allumée et une volontaire m’a dit « ça ne sera plus comme avant ». C’est anecdotique mais ça signifie pour moi plein de choses : on s’était battu et on avait travaillé dur pour que cette maison soit en état, aux normes, belle… ce faisant on laissait derrière nous « le meilleur ». Je ne suis pas un nostalgique du bon vieux temps, je veux juste dire que ce n’est pas forcément où on va qu’il faut travailler si ce n’est que comme un point à l’horizon que le comment on y va ».

L. le premier président de l’association.